Se découvrir

sensitif

 

 

Sébastien Fernandez

 

Dédié à ma famille, 

mon entourage, 

           aux équipes de recherche  

 

 

C'est l'histoire particulière d'un jeune homme qui découvre une spécificité de l'organisme vivant, la partie sensitive : c'est-à-dire que notre organisme est capable de transformer les différentes stimulations de l’extérieur en influx nerveux, ce qui finalement lui fait découvrir  quelques capacités sensorielles. 

 

 

Google

 

Avertissements :

 

Je ne suis ni docteur, ni professeur, seulement moi-même.

Ce qui suit est une feuille de route singulière et personnelle d’un agneau qui sort du troupeau, non une marche à suivre à la lettre d’un berger.

C’est le parcours d’un petit bonhomme, retroussant ses manches, enterrant la peur, jour après jour, renversant les évidences, sortant du silence, tirant sa révérence à l’espérance de tous les possibles dans un univers rebondissant d’énigmes et de mystères encore à élucider.

 

Préface

 

Le problème majeur pour écrire ce livre débutait surtout par le fait de savoir s’aborder en premier lieu soi-même pour essayer d’aborder un lecteur.

Ce n’est jamais simple de prendre un peu de recul sur soi pour s’analyser, puis  en s’éloignant, de commencer à y voir clair. Pour me définir et dire en quelque sorte qui étais-je et qu’avais-je en toute liberté, je me trouvais confronté au problème de la terminologie. Somme toute, je n’étais  spécialisé dans le domaine médical, et pourtant, je devais pour réussir une auto-définition rigoureuse, veiller à exprimer le plus authentiquement possible mon expérience en choisissant des termes appropriés ou des comparaisons proches de tout un chacun pour qualifier envers un lecteur lors de la transmission de ce livre mes descriptions et explications, ne serait-ce que pour ma famille en tout premier lieu.

Moi, tout compte fait, je ne détiens pas la vérité universelle, je ne suis rien, on ne me dit rien  mais j’observe tout et à ce grand petit tout j’apporte comme grain de sable, ma petite goutte d’eau dans l’immense océan qu’est la vie et je vous livre une partie de ma vie qui se déroule ainsi sous quelques verbes bien précis : observer, apprendre, comprendre, douter, s’interroger, réfléchir et transmettre.

 

Je ne suis qu’un professeur, qui n’a jamais donné un cours, vous laisse mes observations, en ferez-vous une leçon ?

Les personnages et les faits racontés sont réels.

 

Le tout est écrit si possible avec simplicité, sous diverses approches  pour me rendre accessible à un enfant, un adolescent, un étudiant, un chercheur.

 

Table des matières

 

Avertissements :  

Préface.. 

I -  Témoignage accessible à un enfant    

1.] -  Qu’est-ce donc d’être sensitif ?.

Témoignage accessible à un adolescent    

1] -  Se découvrir sensitif  

1.1] C’est quoi être sensitif ?

1.2] -  Je suis intuitif  

Je suis fusionnel  

IIII - Témoignage accessible à l’adulte   

1] -  Se découvrir sensitif

2] - La recherche du mot sensitif dans le dictionnaire le Petit Robert 

3] - Description d’une phase sensitive 

3.1] -  Quels sont mes traits distinctifs,  comment s’exprime cette « faculté de sentir » définit dans le d dictionnaire sur mes sens  ?  

3.2] - Cette phase sensitive,  comment ça marche en somme ? 

3.3] - Comment gérer son côté sensitif ? 

3.4] - Comment  gérer ces stimulations ?  

·Je me sers du sport :  

·Je pratique la relaxation;  

·Je chante:  

·Je danse

·J’écris

·Je pratique la musique:  

3.5] -  Quels sont les  points faibles de cette phase sensitive ? 

·Ne pas savoir que je suis sensitif  

·Devenir hyper-actif  

·Tomber dans le malade imaginaire:  

3.6] - Origines de ce côté sensitif, d’après mon expérience 

4] - Conclusion.. 

 

I - Temoignage accessible a un enfant

 

Être compris par un enfant, lui avouer en quelques mots qui j’étais réellement, voilà quel était mon plus grand défi.

 

Si l’enfant comprenait, alors l’adulte qu’il deviendrait serait tolérant envers ses semblables et n’exclurait à tort ou raison. C’est ainsi que je me mis à rédiger ce texte.

 

1] - Qu’est-ce donc d’être sensitif ?

 

C’est une prédisposition de l’organisme vivant qui permet au corps humain d’être sensible à toute sorte de stimulation

C’est  une découverte que j’ai fait dés mes trente cinq ans, même si j’étais maniaco-dépressif, quand j’ai décidé d’arrêter un thymorégulateur, médicament qui a tendance à endormir légèrement les organes sensoriels, pour savoir comment réagirait mon corps sans celui-ci. 

 

« Je dis que je suis sensitif 

car en regardant quelqu’un,

je ressens comme des fourmis qui chatouillent mon corps,

et quand je marche et je bouge,

je sens comme du courant électrique à faible dose en  moi.

Je me sens si bien,

que j’ai l’impression d’être très léger, 

comme si j’allais m’envoler.

C’est comme si j’avais des suspensions sous les pieds.

Je peux arriver à ressentir ce qu’une autre personne ressent dans son corps.

Lorsque je chante,

je suis capable en fermant les yeux, de voir les couleurs changer »

 

Mais,

si je ne sais pas être calme,

si je ne tiens en place,

si je suis tout le temps agité,

je n’arriverai à sentir ces chatouilles et ce tout petit courant.

dans mon corps en restant tranquille ..

« On pourrait dire alors que je deviens très nerveux, voire hyperactif. »

 

 

                   II - Témoignage accessible à un adolescent

 

 

Aborder la complexité de ma personne avec simplicité, ne me laissait tout le temps la possibilité d’utiliser des mots simples, alors je pris la peine comme à l’école de créer petit à petit un lexique pour m’adresser désormais à un adolescent.

 

1] -  Se découvrir sensitif

 

1.1] - C'est quoi être sensitif [1]  ?

 

C’est être capable de regarder une personne ou quelque chose et de s’y plonger.

Je suis alors comme un homme 

qui fait appel à son instinct d’animal 

pour sentir les transmissions d’un milieu 

ou les stimulations d’une personne.

 

Cela me rend aussi fragile,

car je vis à l’intérieur de mon corps les émotions et sensations d’autrui : joies, peines, douleurs et plaisirs. 

et j’enlève les images douloureuses,

qui pourraient me faire mal dans mon corps,

en pensant à autre chose à ce moment là.

 

On dit de moi que je peux somatiser [2]

parce je suis très réceptif  [3]

Quand la douleur est plus forte, je fais quelque chose qui me fait plaisir : une activité, du sport, de la danse, de la relaxation voire l’amour,

et tout s’en va.

 

On dit que je suis intelligent, 

or je pense que tout le monde l’est et que je le suis par défaut

parce que je suis intuitif [4]

Je me sers de mon intuition comme tout le monde

    1.2 ] - Je suis intuitif

 

parce que j’associe mon instinct animal

à ma conscience, qui elle, trie, mémorise et identifie les stimulations.

 

1.3] -  Je suis fusionnel  [5]

 

Toi et moi,

tout d’un coup ça peut faire un

mais aussi ça pourrait faire deux.

Je me glisse dans la peau d’un personnage de théâtre,

j’imite voix et gestes,

j’entre dans la pensée de quelqu’un et m’inspire pour créer,

c’est ainsi,

et je m’aime ainsi,

même si mon équilibre repose sur un fil.

Tant qu’on ne me coupe pas mon fil, 

je suis en équilibre et me trouve équilibré.

Je me place à la portée d’une personne 

comme l’on monterait 

la gamme d’un instrument de musique.

Je le suis mot à mot

et mon corps devient comme une portée de musique,

où chaque mot, son et émotion 

me procurent un fourmillement dans tout mon corps.

 

 

Or, 

j’aime cet extraordinaire et puissant influx,

car il fait bouger ma vie et tout mon être

par des fourmillements plaisants à l’intérieur de mon corps,

vivant mes émotions comme jamais auparavant.

 

Quand je marche ou bouge,

je pense que tous les récepteurs de mes terminaisons nerveuses fonctionnent si bien 

que je ressens toute l’énergie de l’extérieur qui m’enveloppe,

une sorte de courant interactif 

entre moi et tout ce qui est autour,

j’ai l’impression de flotter, une sensation d’apesanteur,

je me sens alors léger et incroyablement bien.

Si je me mettais à ne pas cligner des paupières,

je deviendrais hyper-agité,

ou bien hyper-dynamique,

remarquable par le rythme des battements de paupières 

synchronisé par les stimulations de l’extérieur,

je ne sentirai ces stimulations,

pour les apprivoiser en maîtrisant le picotement qu’elle provoque à l’oeil 

et serais constamment excité.

 

 

L’alcool,

comme tout produit actif,

consommé avec modération,

inhibe mes refoulements,

sauf qu’après une certaine dose,

il endort mes sens,

et me prépare pour une rapide nuit de sommeil,

cependant pas très positive car elle est trop courte

et je me réveille avec un mal au crâne et tout agité.

Je ne dois mélanger un médicament à l’alcool.

D’ailleurs et en toute sincérité,

cette sensation de tanguer lors d’une ivresse alcoolique

est la même sensation que je ressens,

en phase sensitive lorsque j’ai l’impression d’être très léger

en paix et en harmonie avec ce qui m’entoure,

la différence est dans le fait de ne pas tomber par terre,

comme l’on tombe avec un surdosage d’alcool.

 

Cette phase sensitive s’obtient en plongeant le regard au loin 

comme si vous méditiez ou si vous étiez plongé amoureusement 

dans les yeux de quelqu’un que vous aimez

sans baisser les paupières

et ce assez longtemps,

vous passez alors dans une phase sensitive

et commencez à ressentir physiquement ces stimulations..

 

III - Témoignage accessible à l’adulte

 

1] - Se découvrir sensitif

 

Au cours du printemps l’année 2000,, je vécus une expérience surprenante dans la chorale Crescendo de Blagnac : notre professeur nous demanda de chanter et de fermer les yeux en même temps pour que nous arrivions à nous concentrer et harmoniser les uns aux autres. 

Moi stupéfait, je lui dis que je voyais des couleurs qui changeaient de ton en chantant. Le plus insolite, c’était que pour l’instant j’étais le seul dans le groupe à décrire ces couleurs.

C’est ainsi qu’en somme, je me mis à réfléchir sur moi-même. 

Qui pouvais-je être? 

Telles étaient alors mes premières interrogations ?

Le déclic se fit alors en chantant et grâce à mon professeur. Ce fut ma première découverte, et cela m’incita à aller plus loin, autant que je pouvais jusqu’à me découvrir entièrement 

 

 

2] - La recherche du mot sensitif dans le dictionnaire le Petit Robert

 

Le plus dur était de trouver un mot pour exprimer ce que je ressentais le plus. Celui-ci pouvait être une piste pour tout chercheur, un repère pour toute personne ressentant ce que je ressentais et qui devant un mur d’incompréhensions, un chemin peu connu, a besoin d’un nom pour être rassuré, une base pour ne pas se perdre et avancer autant que possible en toute tranquillité, et surtout, toute une série de mots ajustés et fixés, qui deviennent des repères visibles et clignotants dans les autoroutes du savoir via internet.

 

Je feuilletais mon cher, vieux et usé petit  dictionnaire, ( le Nouveau Larousse Elementaire, édition 1973), je cherchais quelque chose à partir du mot sens puis lisais les mots de la même famille et notais quelques définitions :

 

Sens : 

 

Faculté par laquelle l’homme et les animaux reçoivent l’impression des objets extérieurs.

 

Sensation 

 

Impression que la conscience reçoit des objets par les sens.

Sensuel :

 

Attaché aux plaisirs des sens.

 

Sensible :

 

Qui peut être perçu par les sens. Qui ressent aisément les moindres impressions, physiques et morales. Qui est facilement ému, touché.

 

Sensitif :

 

Qui a la faculté de sentir, qui a rapport à la sensation : vie sensitive

 

Sensitive :

 

Légumineuse dont les feuilles se replient si on les touche.

 

sensoriel :

 

Qui se rapporte aux organes des sens. 

 

Intrigué par le mot sensitif, je partis de chez moi et allai regarder sa définition à l’Université Toulouse Le Mirail, sur le Petit Robert, dictionnaire de langue française Dépôt légal : février 2000

 

Sensitif :

 

adjectif. – 1265 ; latin.médiéval. sensitivus 

 

VX Qui appartient aux sens, à la sensibilité. « la partie intelligente combat la partie sensitive »  (Boss).

 

Mod. Physiol. Relatif aux sensations.→ sensoriel.- Spécialisation. Qui est capable de transformer une stimulation en influx nerveux et de le transmettre ou d’y réagir. Nerfs moteurs et nerfs sensitifs

 

2.  (1587) LITTér.  Particulièrement sensible, qu’un rien peut blesser. – Subst   « Le sensitif et le tourmenté qu’il était »  (Bourget).

 

3. Appareil à touches sensitives, que l’on actionne par simple effleurement

 

            J’arrivais à me reconnaître dans tous ces mots, mais le mot sensitif fut comme un déclic. Il était celui qui pouvait peut-être m’aider à parler le plus de moi-même. 

Le mot était devant moi, il ne me restait plus qu’à me lancer. Me voilà seul à bord, seul à bord mais avec un mot, cherchant des livres sur le sujet, des sites sur Internet pour assurer les bonnes références, les grands points d’appui de toute démonstration. En date du 13 juillet 2000, je ne trouvais rien hormis mes petits dictionnaires. 

Alors il ne me restait plus qu’à ouvrir un chemin, m’accrocher à ce mot comme point de départ et commencer à décrire mes sensations personnelles et ce à partir de mes cinq sens.

Comme mes sensations évoluaient et variaient, je me penchais sur la définition de l’influx nerveux [6] et en tenais compte pour décrire la perception de ces stimulations avec des mots simples, justes et bien appropriées si possible aux situations. Cependant je ne pouvais mesurer l’influx nerveux avec un outil scientifique.

Peu importe, je me mis à travailler intellectuellement de tout cœur pour explorer mon organisme vivant et transmettre mes expériences. Je me mis à écrire, pour être à la portée de tout un chacun, en essayant d’avoir comme lecteur potentiel, tant le futur soignant, tant le futur soigné, pour témoigner de tout ce qui me caractérisait, en cherchant un mot qui pouvait être la base de toute explication rationnelle de mes observations futures et quotidiennes, en s’entendant pour communiquer autant que possible sur un outil commun : le dictionnaire.

 

Il y aurait donc à supposer que la sensitivité n’ait pas encore livré tous ses secrets. Etait-elle évolutive, telle était mon interrogation ?

 

« Toute expérience solitaire sous quelque forme que ce soit  et quelque soit le domaine

forme et forge tôt ou tard la carapace d’un homme pour enrichir l’humanité » 

 

3] -  Description d’une phase sensitive 

 

3.1] - Quels sont mes traits distinctifs, 

comment s’exprime cette « faculté de sentir » définit dans le dictionnaire sur mes sens  ?

 

Une particularité s’observe lorsque je chante, et ce lorsque je ferme les yeux : je vois la formation de couleurs grâce à la modulation musicale et le débit de mots prononcés. 

 

Enfin, mon toucher me permet de ressentir au fond de moi toutes les stimulations qui se dégagent de vous et des choses. qui m’entourent qui se traduisent par des fourmillements ou des sensations de douleurs. 

 

      3.2] - Cette phase sensitive,  comment ça marche en somme ?

 

Sans outil de mesure scientifique et n’ayant que mon corps et ma pensée pour témoigner, à mon avis, il me semble que cette phase sensitive se différencierait du mot sensible par la dimension du ressenti physique dans mon corps d’une stimulation:

 

            M’appuyant pour tout départ de recherche sur l’existence à confirmer et donc à démontrer scientifiquement par des outils de mesures ou d’autres témoignages personnels d’un principe de sensitivité dans lequel j’avance individuellement en disant de manière précise :

 

« Tout environnement qui nous entoure est un espace énergétique conductible, si et seulement si tout organisme vivant dans cet environnement est capable de transformer, réagir ou transmettre une stimulation en influx nerveux via les récepteurs, émetteurs et transmetteurs de son organisme » 

 

C’est par ce principe qui d’après moi serait  universel qu’en étant centré et concentré sur ce qui m’environne, je laisse traverser en moi les stimulations de l’extérieur, grâce à mes sens, via tous les récepteurs de mes terminaisons nerveuses. 

Il se peut que ce soit par ce principe qu’un chien retrouve son maître à 500 km ou pressent la mort du maître en hurlant à la mort.

 

Cette stimulation peut être un facteur externe : l’énergie qui se dégage d’une chose, d’une personne ou un facteur interne : une pensée. Cette stimulation est une suite d’informations que mon organisme vivant transforme en influx nerveux. Ces informations sont un contenu riche en réactions chimiques et électriques, voire une énergie intérieure, que j’identifie et vis dans mon corps passagèrement pendant cette stimulation. 

Cette description se rapproche de celle du fonctionnement des magnétiseurs, qui ressentent ces stimulations et transmettraient comme ils disent à leurs patients par des passes magnétiques, leur flux énergétique. Il ne guérissent d’un cancer mais peuvent apporter par leur magnétisme, un grand soulagement intérieur. 

 

Moi, je pense que je peux dire que je fonctionne comme un magnétiseur, qui apprend à charger et à décharger l’énergie de ses patients.

Parfois, je localise ces stimulations par le va et vient de ce flux nerveux dans mon corps et sais distinguer, l’organe qui se bloque, le désir et les pulsions sexuelles prohibées par le surmoi de la personne que j’observe et que la personne transmet ou dégage d’elle-même.

 

Quelques fois j’arrive à distinguer visuellement ou ressentir l’énergie qui entoure toute chose vivante et je pourrais être capable de ressentir les symptômes d’une maladie.

 

Mon esprit reste ouvert pour mes semblables mais ces stimulations et perceptions m’interpellent intérieurement. 

 

3.3] - Comment gérer son côté sensitif ?

 

Je ne peux gérer ce côté que si je suis parvenu à comprendre ce qui m’arrive et surtout à cerner ce corps dans lequel je suis né en acceptant que l’organisme vivant soit susceptible d’évoluer avec l’âge et réagir au milieu et aux êtres qui l’entourent. 

            Il faut arriver à distinguer son côté psychosomatique qui constitue a priori l’aspect négatif par conséquent de ce côté sensitif comme je viens de le démontrer par ce fait de charger cette énergie qui se dégage des êtres vivants..

Cela prend du temps, et ce temps est fonction de chacun, pour comprendre et identifier en premier lieu toutes les émotions et pensées qui sont propres à soi, qui constituent lorsqu’elles sont négatives un véritable empoisonnement pour le corps, en développant un stress négatif et par conséquent un grand nombre de maladies psychosomatiques

Puis en un second lieu, tout ce qui n’est pas une émotion personnelle et qui est le fruit d’une stimulation constante ou passagère avec ce qui m’entoure, dû à ce côté sensitif qui transforme les stimulations, sur lesquelles je me connecte, les transformant d’après les sensations qu’éprouve mon corps en influx nerveux : j’ai l’impression d’être dynamiser par l’énergie issue de ces stimulations..

            Pour découvrir ce côté sensitif, il faut déjà savoir se débarrasser de tout l'aspect psychosomatique, c’est à dire en aval, avoir traité tout conflit intérieur pour être comme on dit bien dans sa peau, tout à fait zen et prêt à identifier ces stimulations qui vous font devenir fusionnel, c’est à dire que vous pourriez ressentir dans votre corps ce que l’autre ressent dans le sien..

 

3.4] - Comment  gérer ces stimulations ?

 

Le sport, représente un atout considérable parce qu’il libère ces stimulations qui font que je peux me sentir trop tendu quelque fois, comme si j’étais sous pression par ce trop plein de stimulations que le corps condense en soi.. 

  • Je pratique la relaxation

La relaxation, constitue une pratique favorable pour  détendre les parties de mon corps qui pourrait avoir tendance à mémoriser ces stimulations: je ferme les yeux, je fais le vide et chasse de ma tête toutes les pensées qui peuvent m’assaillir, pour n’écouter que mon corps. Je pratique cet exercice assis ou étendu, avec de la musique ou non, avec de l’encens ou non. 

Je me sers  de l’art:

  • Je chante

Pour moi, le chant me permet d’évacuer ces stimulations, via le jeu subtil de la voix qui entreprend une série de notes différentes pour s’exprimer et les libérer esthétiquement dans un espace d’excellente acoustique qui permet à ma voix de se propager harmonieusement dans l’air. 

  • Je danse

La danse, m’est bénéfique parce que mon corps dessine des postures et change de cadence à volonté. 

Bien que je fusionne au son de la musique et emmagasine de l’énergie, mon corps se tonifie et s’épuise en bougeant. 

  • J'écris

 

L’écriture, permet de transformer ces stimulations en un contenu artistique.

L’écriture me délivre d’un amalgame d’émotions que vit mon corps et de pensées qu’interfère ma conscience 

Ces pensées figées sur papier me permettent de réorganiser ma pensée, de faire le tri, comme quand vous êtes sur votre ordinateur entrain de créer des dossiers et des fichiers. 

En un premier temps je visualise les passages différents, puis en un second temps j’essaie de reconnaître la voie des propriétaires de la pensée écrite, et m’en sers pour faire émerger un personnage, qui lui en tant que personnage a aussi une forme de pensée plus singulière. C’est ainsi que je prends conscience que je suis l’auteur de ce que j’écris mais seulement le narrateur de ce qui me vient sur le papier. 

L’écriture constitue un moyen utile pour trier et organiser ma pensée via diverses formes d’exercices. Ces exercices littéraires me donnent la possibilité de figer mon côté sensitif esthétiquement et d’imprégner mon écriture d’une touche de sensualité plus forte par le ressenti physique qu’éprouve mon corps lors d’une stimulation.

C’est à dire que me mettant dans la peau d’un personnage, je ressentirais ce qui se passe dans son corps et m’en servirai.

Dans le continu de ces exercices, et plus particulièrement par le biais du vers libre en poésie, je suis arrivé à différencier différentes voies narratrices, jusqu’à intercepter quelque chose qui criait de l’intérieur, de mon ventre jusqu’à mon oreille. Par ce cheminement conséquent de découvertes et d'interrogations, j’ai fait éclore cette voix et m’en suis fait propriétaire pour écrire du fond de mes tripes quitte à dire : ce que j’écris est vraiment ce que je pense personnellement, moi Sébastien. 

Ainsi toute pensée arrivant librement à ma conscience n’est que locataire temporaire après identification, elle m’aide à continuer à écrire, demeurera sur le brouillon mais ne restera écrite à son même point qu’après accord de l’auteur, moi-même en chair et en os, qui engage ma responsabilité comme propriétaire de l’œuvre. 

En écrivant, je suis donc apte à ressentir toutes les sensations physiques et les transmettre à mon lecteur par les descriptions, je m’habitue ainsi à découvrir et explorer mon côté sensitif jusqu’à faire vivre toutes les émotions qu’est en train de vivre mon personnage. C’est ainsi que je tire profit artistiquement de mon côté sensitif.

En persévérant dans l’écriture, j’ai appris une chose plus forte que ma voix, c’est entendre mon propre silence dans mon oreille interne, silence équivalent à ce silence pacificateur des églises, semblable à un sifflement intérieur, tel un acouphène, comme si je sortais d’une discothèque. Il me permet de mettre un terme à chaque voix de chaque personnage, et ainsi passer et franchir les différentes instances narratrices d’une œuvre en construction.

 

En musique, je suis amené à entendre et faire entendre mélodieusement mes émotions. Les notes m’aident à exprimer ce que les mots ne peuvent dessiner.

Comme écrit Bernard Lavilliers dans sa chanson  : 

«  la musique est un cri qui vient de l’intérieur »

Parallèlement, je peux me laisser traverser du ressenti d’autrui et de l’atmosphère m’environnant. J’ai pris conscience que la création est un contenu émotionnel à la fois extérieur et intérieur ou tantôt l’un ou l’autre.

            En créant mes morceaux, j’arrive à distinguer cette différence et à fusionner avec plus ou moins d’intensité avec l’entourage pour me laisser aller et m’inspirer.

            L’apprentissage du solfège me permet d’écrire ma musique et de visualiser, en la parcourrant et l’analysant, cette distinction pour affirmer volontairement ma personnalité et mon style en tant que compositeur comme l’est l’auteur pour l’écriture d’un livre. 

Cet apprentissage peut devenir rébarbatif si je ne trouve le moyen de faire exprimer mon « moi intérieur » et « ces mois extérieurs » qui créent l’émoi en nous tous. 

            

 3.5] - Quels sont les points faibles de cette phase sensitive ?  

 

Soyons bref, soyons simple : « ne pas me connaître », ou « ne pas m’ avoir donné l’opportunité de me connaître », si je présente déjà quelques traits bien distinctifs.

 

Sans avoir compris qui je suis, ce qui me caractérise, m’être approprié des mécanismes spécifiques de mon organisme vivant, m’être accepté, je pourrais être sous l’emprise des pensées qui me traversent. Je pourrais devenir une marionnette qui s’agite et qui ne trouve le sommeil parce j’emmagasine trop de stimulations que je ne libère. Je pourrais être qualifié d’hyperactif malgré moi, parce que je ne tiens en place. Je pourrais être comme une remarquable pile électrique qui ne sait pourquoi elle est si électrique. Le surmenage est mon ennemi majeur si je ne m’habitue à m’accorder des plages de relâchement complet.

Sans comprendre que mon corps fusionne par la présence de ces stimulations, et sans savoir gérer cette fusion par le sport, la relaxation, la concentration dans le travail, d’autres activités artistiques, ou me repliant dans mon jardin intime, je pourrais être qualifié de malade psychosomatique alors qu’il n’en est rien, parce qu’en me centrant sur telle personne, j’ai emmagasiné dans mon corps tout ce qu’elle avait et je ne sais comment on fait pour évacuer ce trop plein de stimulations qui finit par générer une sorte d’excitabilité.

 

 

Si je ne sens en moi arriver ces stimulations et se produire leurs fusions se caractérisant par un fourmillement dans mon corps(qui d’après moi et sans aucun outil de mesure correspondrait à l’influx nerveux), je serais comme transporté par cette énergie et le concentré énergétique qui est dans le milieu ambiant que j’arrive à charger en moi, qui me rend tout d’un coup comme survolté, ne tenant en place, n’arrivant à me concentrer, en fusion avec un espace dont l’interactivité m’est tout à coup négative. 

Mes récepteurs nerveux ne font qu’emmagasiner ces stimulations et il faut alors que j’arrive à me centrer en moi dans mon jardin secret tout en maintenant une activité si je me trouvais occupé à ce moment là. C’est avec l’expérience, apprenant que l’on est sensitif à la base, en pensant à soi tout en se laissant imprégner par l’extérieur qu’on peut parvenir à une maîtrise de soi. 

Je pense et ce sans être médecin, qu’un thymorégulateur à ce moment pourrait être une solution temporaire car il calme cette excitation en endormant les récepteurs nerveux, je me sens alors moins vif.  

 

 

Je dirais que je suis comme le caméléon. L’arrivée d’une stimulation sur moi peut engendrer des picotements le long de mes terminaisons nerveuses lorsque je me trouve en phase sensitive et hors de mon jardin intime. La nouveauté de cette sensation, sans me connaître, pourrait m’effrayer et me faire tomber dans la crise du « malade imaginaire », mais la recherche d’une explication me remettra en confiance et rééquilibrera. 

Certaines stimulations sont perceptibles par une sorte d’aura ou flash lumineux qui se dégage des êtres et qui d’après moi pourrait être mesurable sur l’influx nerveux. C’est une supposition et je n’en suis pas très sûr car je ne dispose d’outils de mesure et ne suis entouré de chercheurs 

Mise en garde :

 

Cet apprentissage progressif est un dur et sinueux chemin. Ces étapes, je ne les ai traversées que progressivement et il s’avère raisonnable et indispensable à défaut de se connaître entièrement et ayant ainsi acquis une maîtrise parfaite de son de son corps et de son esprit de faire transitoirement usage des médicaments prescrits et suivre l’aide non négligeable de ses médecins spécialisés et appropriés pour chaque symptomatologie ou pathologie développée afin qu’ils puissent arriver à se déterminer à long terme sur un pronostic sérieux et parfaitement juste d’une maladie que vous avez eue et d’une spécificité que vous êtes en train de développer.

 

3.6] - Origines de ce côté sensitif, d’après mon expérience


Lorsque mes observations sur le domaine sensitif furent synthétisées, elles reposèrent et furent relues par mes proches. Puis, en une soirée, je me rendais compte qu’il manquait quelque chose, une réponse plus sincère, savoir pourquoi étais-je si sensitif. Je ne faisais qu’énoncer et si possible avais je essayé d’expliquer avec quelques mots simples et l’aide du dictionnaire seulement quelques traits distinctifs et le ressenti.

Ce fut en pensant à mon chien qui bondissait de joie en me voyant que j’eus peut-être une réponse.

Je pris conscience que j’étais sensitif parce que je faisais sûrement appel à quelque chose d’endormi, ou qui sait, peut-être que je faisais appel à mon instinct d’animal, qui sent les dangers et les plaisirs du milieu, c’est-à-dire cet ensemble de stimulations m’interpellant par un fourmillement dans mon corps. Il se pouvait donc et cela restait à démontrer et à mesurer que l’influx nerveux et les neurotransmissions deviennent sensibles intérieurement par leurs intensités électriques dans le corps. 

En attendant ces investigations, je me mis à gérer ces stimulations que je découvrais au fur et à mesure, qui devenaient intenses lorsque je voulais me sentir en pleine osmose avec les êtres humains, mais aussi avec tout ce qui m’entourait, parce que chaque chose semblait être entourée d’une énergie électrique et chimique.

Je sentais cette énergie si bien autour de moi qu’en marchant, j’avais l’impression d’être en harmonie et faire partie d’un tout.

            C’est en explorant mon côté sensitif que je compris que ces fourmillements qui me caractérisaient sans qu’ils eussent été ressentis, pouvaient constituer sans doute une stimulation redoutable qui m’excitait et m’agitait, et qui m’avaient rendu légèrement hyperactif malgré moi à certains moments de ma vie. Cet stimulations petit à petit maîtrisées m’apportaient une richesse intérieure : la sensation de n’être pas seul sur une planète animée de vie et d’énergies interactives. 

Je pouvais être sensitif et instinctif  en me laissant guider par mes sens et tous ses récepteurs, lesquels alliés à ma conscience, donnaient finalement l’intuition.

Oui, mais pourquoi, étais-je devenu si sensitif ?

Là était finalement la question.

Peut-être parce que j’allais vers la vie et les autres avec le désir ardent de communiquer vraiment, non seulement avec des mots, mais avec la force du regard et sans baisser les paupières pour découvrir ce qu’était réellement la vie.

Je pensai alors à mon tout premier poème, composé en m’inspirant de tous ces visages d’enfants que j’avais regardés, et y découvris cette part instinctive, cette part d’enfance qu’on assassine stupidement en grandissant, et qui nous manque, dont on se prive et dont on souffre, pour arriver à faire un pas vers l’autre,  

En un mot la confiance.

 

Une vérité parmi tant de milliards d’autres

 

 

Vérité

Tu chantes

Avec liberté.

Souvent m’a t’on dit de ne jamais dire

Ce qui est vrai.

Si tu vois les enfants,

Tu vois la vérité ;

En eux c’est un talent qui n’est pas latent.

Sans se connaître,

Ils se regardent,

Se rapprochent,

Se touchent,

Ils osent faire ce que

Les grands ne savent plus faire.

Vérité ils sont du mot humanité.


Sans honte,

Ils s’observent,

Sans peur,

Ils se sourient :

Une curiosité sans sinuosité.

Ils n’ont même pas besoin

De parler pour s’aimer.

Ces petits esprits

Sont éclairés

Par un chemin de vérité,

Mais,

Le silence dans ce bas monde

A tout trahi par sévérité

Depuis l’amour et l’amitié

Manquent aujourd’hui de vérité ;

Le faux se plait,

Le vrai se tait.

Un monde ivre d’ivraie,

Ça ne me plait,

Et pourtant

Il s’est ainsi fait.

 

 

J’avais donc fait mes premiers pas dans l’inconnu qui nous intrigue tant, en développant peut-être des capacités mentales et sensorielles pour revisiter la vie à présent, le ménage bien fait dans ma tête, mes bagages légers, et mon cœur encore là pour aimer y accueillir la vie.

J’étais devenu un « chercheur scientifique», malgré moi, d’origine littéraire sans laboratoire et cobayes, et n’avait pu disposer que de ma personne pour cette aventure captivante.

Or pour s’affirmer et un tant soi peu exister, il faut quelques fois tout transcender, regarder de l’autre côté du miroir pour se prendre en main, dés lors que l’on pense avoir raison en défendant ses convictions.

Ces observations synthétisées et mises au propres furent élaborées à partir de mes observations quotidiennes notées du 13 juillet 2000  au 11 septembre 2001

 

4] - Conclusion


sensitif :

 

Mod. Physiol. [7] . Relatif aux sensations.→ sensoriel.- tQui est capable de transformer une stimulation en influx nerveux et de le transmettre ou d’y réagir. Nerfs moteurs et nerfs sensitifs.  

 

La définition du Petit Robert reste remarquable en ce sens qu’elle ne déborde pas et laisse supposer un champ infini d’applications. Cependant ce qui reste à la limite de ma personne et de tout un chacun, c’est cette possibilité de s’explorer et toujours d’aller plus loin, plus loin dans le sens de se connaître parfaitement pour tirer le meilleur de nous même et donner le meilleur de nous même. Certes il est vrai que cette définition laisse supposer que nous vivons dans un espace interactif et qu’en tant que matière vivante, nous sommes réceptifs à notre environnement. Certaines personnes arrivent à être plus réceptifs que d’autres et c’est cela qui fait notre charme, tout simplement parce qu’il y a des personnes qui aiment communiquer et partager un moment ensemble les yeux plongés dans les yeux et d’autres qui n’arrivent pas parce qu’elles s’évitent du regard, pensent une chose et en disent une autre. 

D’après moi, lorsqu’on aime être très réceptif à tout, il faut arriver à s’habituer et cela demande une connaissance de soi sur mesure pour ne pas tomber dans toutes les maladies possibles. L’on entend que certaines personnes ont des capacités sensorielles importantes, certains deviennent voyants, d’autres se font magnétiseurs et qu’ils tiendraient cela de famille. Moi, je n’ai personne qui exerce dans ce domaine. 

 

Mes réflexions  sont les suivantes :

 

Mes traits distinctifs :

 

  ·        Ce que je peux dire, c’est que une particularité s’observe lorsque je chante, et ce lorsque je ferme les yeux : je vois la formation de couleurs grâce à la modulation musicale et le débit de mots prononcés.

  ·        Enfin, mon toucher me permet de ressentir au fond de moi toutes les stimulations qui se dégagent de vous et des choses qui m’entourent. Ce qui laisse déduire que je suis réceptif à un espace parce qu’il est interactif.

En phase sensitive

  ·        Je fusionne avec cet espace interactif et arrive à percevoir des stimulations qui sont comme un halo de lumière ou un flash lumineux. 

  ·        Je peux arriver à distinguer visuellement ou ressentir l’énergie qui entoure toute chose vivante par des fourmillements qui arrivent à mon corps. Il m’arrive de ressentir ce que l’autre ressent dans son corps.

  ·        Je fais volte face à ces stimulations en faisant du sport, la relaxation, du chant, de la danse, de l’écriture, de la musique ou un travail dans lequel je reste concentré.

 

Quels sont mes points faibles en phase sensitive?

  •  
  • Soyons brefs, soyons simples : « ne pas me connaître »,  

  •  

  • Ne pas savoir que je pourrais être sensitif, me ferait fusionner constamment sans comprendre que mon corps est réceptif à de multiples stimulations qui ont tendance à dynamiser mon corps, en tombant sous l’étiquetage d’une personne hyperactive n’arrivant donc même pas à ne pas cligner des paupières un sacré temps pour acquérir une maîtrise visuelle et être capable d’identifier ces stimulations qui sont présentes autour de moi.

  •  

  • Je dois apprendre à être insensible à volonté aux émotions d’autrui qui laissent émaner des stimulations car je pourrais somatiser certains états émotionnels dans mon corps et tomber dans le malade imaginaire.

  ·        Le transfert d’une émotion d’autrui en moi peut engendrer des picotements le long de mes terminaisons nerveuses, lorsque je me trouve en phase sensitive et hors de mon jardin intime. La nouveauté de cette sensation sans me connaître pourrait m’effrayer et me faire tomber dans la crise du « malade imaginaire » ou le malade psychosomatique, mais la recherche d’une explication appropriée à ce cas de figure me remettra en confiance et rééquilibrera.

 

AUTRES TEMOIGNAGES

 

 

 

 

 

 

 [1]   sensitif : qui est capable de transformer une stimulation  influx nerveux et de le transmettre ou d’y réagir. 

 [2]   Somatiser : rendre somatique . Somatique : qui concerne le corps rendre somatique . Somatique : qui concerne le corps

 [3] Réceptif : susceptible de recevoir des impressions 

 [4] Intuitif : forme de connaissance immédiate qui ne recourt pas au raisonnement. Avoir du flair.

 [5] Fusion : union intime résultant de la combinaison ou de  l’interpénétration d’êtres ou de choses.

 [6] Influx nerveux : courant électrique de dépolarisation qui, en se propageant le long des fibres nerveuses, transmet les commandes motrices ou les messages sensitifs.

 [7] Mod. Physiol. : abréviation de Modification. Physiologie.